Présentée dans un décor épuré, bien souvent baigné d’un puissant éclairage rouge sang, à l’instar de la scène de l’ascenseur, Ma vie rouge Kubrick est un mariage franchement réussi entre l’art des planches et celui de la pellicule. Entre la folie décrite par King – puis tournée par Kubrick – et celle, bien réelle, qui peut parfois s’emparer des êtres aimés. Une oeuvre fascinante.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
On pourra peut-être déplorer qu’en un sens, Un 10 décembre à Munich soit largement une collection de retours en arrière, plutôt que d’offrir, peut-être, une perspective contemporaine plus développée. Cela étant dit, l’autrice nous offre une valse tout à fait convaincante d’émotions, de tranches de vie et autres événements historiques majeurs vus par le prisme de l’individu. Tout pour proposer un roman surprenant.
Véritable voyage à travers des décennies de succès inoubliables, Music by John Williams demeure peut-être un peu en surface, mais il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’un hommage particulièrement bien senti à l’un des membres de ce club sélect des compositeurs de musique de film parfois autant, sinon plus connu que les réalisateurs avec qui ils travaillent. À voir, ne serait-ce que pour réentendre ces notes triomphantes au moment où, sur un ciel étoilé, apparaissent ces mots racontant que des rebelles ont volé les plans de l’Étoile noire…
« Sur les 486 journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions dans le monde, depuis 2017, 40 sont des femmes, et au moins 10 d’entre elles ont été tuées après avoir consacré une partie de leur travail aux droits des femmes et aux violences de genre. »
Pour clore le spécial Halloween 2024, on explore un film d’horreur d’Osgood Perkins mêlant violence et surnaturel, le tout avec un certain Nicolas Cage dans le rôle d’un adorateur de Satan sanguinaire.
Bien exécuté, avec quelques errances que l’on s’empressera de pardonner, Missing est l’un de ces films réussissant à s’emparer d’une histoire relativement classique et d’en tirer quelque chose d’efficace à l’aide de la technologie contemporaine et d’un montage très serré. Bien joué!
Film culte de 1977, SUSPIRIA, avec son atmosphère déjantée, ses décors psychédéliques, son incroyable musique et sa violence aussi absurde qu’excessive, a influencé 50 ans de cinéma d’horreur. Replongeons dans ce cauchemar éveillé.
Il est fort probable que l’on replonge dans Kill Knight, ne serait-ce que pour cette dose d’adrénaline qui circule dans nos veines lorsque l’on réussit à survivre ne serait-ce que quelques secondes de plus. Mais il faut certainement admettre que la difficulté particulièrement importante de ce titre en découragera plus d’un.
Laid, ennuyeux, mal exécuté… Flaak TD est un ratage complet. Même des jeux du genre de l’époque des animations Flash étaient plus efficaces et agréables. À éviter absolument.
« Les ventes de voitures électriques sont en forte hausse, d’un océan à l’autre, avec 30% d’augmentation jusqu’ici, cette année. D’ailleurs, elles progressent encore plus rapidement au Québec, qui représente plus de la moitié de la croissance. »