Un peu plus d’un internaute québécois sur trois (37%) dit rencontrer « très souvent ou régulièrement » des fausses nouvelles en ligne… alors qu’un peu moins du tiers des répondants disent avoir fortement confiance dans leur capacité de distinguer le vrai du faux sur internet.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
Il y a beaucoup de bonnes choses, dans Songs of Silence. Mais on a malheureusement l’impression qu’au-delà de l’esthétique, les développeurs ne savaient pas trop comment proposer une expérience plus complète. Nous sommes donc aux prises avec quelque chose de décevant, qui aurait mérité plus d’amour et de complexité.
Le temps des Fêtes qui est à nos portes sera sans doute propice à la construction de mondes virtuels, un casque enfoncé sur la tête. Il ne s’agit pas encore de plonger carrément dans cet univers numérique, comme dans le classique de science-fiction TRON, mais cette réalité semble se rapprocher toujours un peu plus.
La note d’information précise qu’il existe une corrélation entre le nombre d’heures travaillées et le risque de décrochage; ce risque augmente jusqu’à 31% lorsqu’un élève passe 16 heures ou plus dans un emploi, chaque semaine.
Doux-amer, proposition dont le plaisir croit avec l’usage – en quelque sorte –, superbement tourné, Preparations for a Miracle méritait pleinement d’ouvrir l’actuelle édition des RIDM. Un documentaire engagé, certes, mais aussi capable de prendre un pas de recul. Une oeuvre plus que nécessaire, y compris pour son approche très « science-fictionnesque ».
Alain Saulnier remonte aux barricades avec l’essai Tenir tête aux géants du web, dans un contexte où la démocratie, dit-il, est plus que jamais menacée par ces plateformes et leurs propriétaires milliardaires.
Les bases de Carton rouge ne sont pas mauvaises, loin de là. Mais l’exécution et la structure de la chose provoquent une telle confusion, une telle incompréhension, qu’on se demande bien si le message que l’on souhaite transmettre se rendra bel et bien à ses destinataires.
Proposition en apparence simple, mais dont la complexité se dévoile à mesure que l’on prend le temps de vivre l’oeuvre en question, portés par un désir de s’imprégner de tant de beauté musicale et visuelle, certes, mais peut-être aussi par une envie d’abandonner temporairement le monde extérieur, Ravel Ravel Interval a un petit quelque chose de transcendant. Idéal, donc, pour se laisser emporter.
Le texte d’Anatomie d’un suicide, notamment avec ses échanges quasiment intergénérationnels, est très bien interprété par une solide distribution. Dommage, toutefois, que plusieurs autres éléments viennent franchement gâcher l’expérience. Le sujet est brutal, mais nécessaire, certes. Ce qui est moins nécessaire, c’est d’irriter les spectateurs.
Hugo et Kevin font un tour par les Rencontres internationales du documentaire de Montréal pour deux oeuvres explorant autant de facettes de ce genre cinématographique.