Que faire face à cette crise qui secoue les médias? Se concentrer sur le journalisme local, pardi! C’est la solution qu’a avancé hier Robert Picard, du Journal of Media Business Studies, dans le cadre du colloque « Le journal indépendant, vue de l’esprit ou phare de la démocratie? » tenu à la Grande Bibliothèque.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
En cette époque où l’information est devenue un gigantesque raz-de-marée déferlant sur tout et partout, sans laisser de place (ou si peu) à l’analyse et à la réflexion, il est parfois bon de prendre du recul et de s’interroger sur l’orientation que doit prendre le journalisme. À l’ère de Facebook, de la messagerie instantanée et de la pensée philosophique en 140 caractères ou moins, une poignée de collaborateurs du Devoir se sont réunis dans le cadre du colloque Le Devoir: la quête du sens à l’heure du Web 2.0 pour discuter de l’orientation que devrait prendre le média imprimé pour s’adapter aux changements technologiques actuels.
Presque trois ans jour pour jour après la sortie de Baby 81, le groupe rock Black Rebel Motorcycle Club lance enfin un nouvel album, intitulé Beat The Devil’s Tattoo. Une sonorité plus puissante, des guitares plus grasses, un rythme plus soutenu; la formule est sensiblement la même, mais elle fonctionne toujours aussi bien.
Quatre amis, quatre histoires, un seul point de rendez-vous; la première oeuvre de Maxime Collins, Comme si de rien n’était plonge au coeur de la vie de quatre protagonistes ayant chacun décidé de quitter Montréal pour découvrir le monde. Si le postulat de départ est intéressant, la maigreur du livre – à peine une centaine de pages – mène à un certain bâclage de la trame narrative pour conclure les quatre parties de l’histoire.
À Montréal, le printemps se fait ressentir tôt cette année, mais le monde de la mode, toujours en avance sur son temps, pense déjà à l’automne-hiver 2011. C’est avec ardeur et envie de concrétiser son statut de capitale canadienne de la mode que la ville nous a offert une 18ème édition de la Semaine de mode de Montréal innovatrice.
Une misère oppressante, mordante, une véritable gifle; voilà ce que nous lance en plein visage On achève bien les chevaux, en première montréalaise hier au théâtre de Quat’Sous. Pauvres, riches, toutes les distinctions et les différences de classe s’effacent devant l’inévitable, le tragique, le grotesque. Québec, les années 30. La récession frappe durement, et tous les moyens sont bons pour s’en sortir. Pourquoi, alors, ne pas prendre part à un marathon de danse? Les gagnants empochent 1500$, les autres retournent à leur misère noire. Et si l’époque est différente, le contexte est ironiquement familier – ne sommes-nous pas, après tout,…
Le flamenco est souvent bien ancré dans ses traditions. Issu de l’Espagne du sud, l’Andalousie a cependant ouvert son esprit et son essence à l’ensemble Constantinople, qui revisite ses racines, ravive son esprit, et qui s’impose sans compromis comme une relecture inédite de ses sonorités jusqu’ici bien établies.
Carmen Maria Vega est le premier album de la chanteuse éponyme. Entre les rythmes de jazz, les mélodies plus traditionnelles, Carmen Maria Vega nous emmène dans un univers plaisant et dynamique.
Vitalic aura finalement quelque peu déçu, jeudi soir, à la SAT. Jouant un DJ set regroupant, entre autres, des extraits de son dernier album, Flashmob, l’artiste aura fait danser la foule sur des rythmes endiablés, certes, mais aura aussi donné l’impression d’avoir choisi la voie de la facilité.
La nouvelle a fait grand bruit dans les milieux journalistiques; dans un communiqué de presse publié lundi, Quebecor Media annonçait le lancement de deux hebdomadaires gratuits, à Laval et dans les Basses-Laurentides.