Auteur/autrice : Hugo Prévost

Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

Que faire lorsque votre coeur se brise? Certaines personnes pleureront toutes les larmes de leur corps, d’autre tenteront de recoller les morceaux. D’autres, enfin, se laisseront emporter par la déferlante du sexe, du stupre et du foutre; c’est cette voie que prendra Anne-Marie, suite à sa rupture dans la pièce Baiseries, de Jean-Philippe Baril Guérard.

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L’opéra Nelligan présente l’histoire de l’auteur des célèbres vers du début du siècle «Ah ! comme la neige a neigé ! Ma vitre est un jardin de givre», vers qui semblent d’autant plus lointains en ce beau début de printemps.

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Une famille déchirée, des manigances politiques, des coups de poignard dans le dos, un empoisonnement… Le programme de Simon Boccanegra de Verdi, joué pour une première fois à l’Opéra de Montréal, promettait d’être haut en couleurs. Si la lecture du programme devient pratiquement un incontournable pour saisir toutes les subtilités de l’intrigue, c’est cette complexité du scénario qui donne à Simon Boccanegra toute sa beauté, particulièrement au niveau des chants, torturés et magnifiques.

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L’enfer évoque immédiatement les flammes éternelles, les supplices interminables, la souffrance physique à la limite de l’insupportable. Et s’il existait une punition pire que la douleur corporelle? C’est ce que l’on découvre dans Huis clos, la célèbre pièce de Jean-Paul Sartre, montée au Théâtre du Nouveau Monde (TNM) par Lorraine Pintal et solidement interprétée par Patrice Robitaille, Julie Le Breton et Pascale Bussières.

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Que faire face à cette crise qui secoue les médias? Se concentrer sur le journalisme local, pardi! C’est la solution qu’a avancé hier Robert Picard, du Journal of Media Business Studies, dans le cadre du colloque « Le journal indépendant, vue de l’esprit ou phare de la démocratie? » tenu à la Grande Bibliothèque.

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En cette époque où l’information est devenue un gigantesque raz-de-marée déferlant sur tout et partout, sans laisser de place (ou si peu) à l’analyse et à la réflexion, il est parfois bon de prendre du recul et de s’interroger sur l’orientation que doit prendre le journalisme. À l’ère de Facebook, de la messagerie instantanée et de la pensée philosophique en 140 caractères ou moins, une poignée de collaborateurs du Devoir se sont réunis dans le cadre du colloque Le Devoir: la quête du sens à l’heure du Web 2.0 pour discuter de l’orientation que devrait prendre le média imprimé pour s’adapter aux changements technologiques actuels.

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Presque trois ans jour pour jour après la sortie de Baby 81, le groupe rock Black Rebel Motorcycle Club lance enfin un nouvel album, intitulé Beat The Devil’s Tattoo. Une sonorité plus puissante, des guitares plus grasses, un rythme plus soutenu; la formule est sensiblement la même, mais elle fonctionne toujours aussi bien.

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Quatre amis, quatre histoires, un seul point de rendez-vous; la première oeuvre de Maxime Collins, Comme si de rien n’était plonge au coeur de la vie de quatre protagonistes ayant chacun décidé de quitter Montréal pour découvrir le monde. Si le postulat de départ est intéressant, la maigreur du livre – à peine une centaine de pages – mène à un certain bâclage de la trame narrative pour conclure les quatre parties de l’histoire.

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À Montréal, le printemps se fait ressentir tôt cette année, mais le monde de la mode, toujours en avance sur son temps, pense déjà à l’automne-hiver 2011. C’est avec ardeur et envie de concrétiser son statut de capitale canadienne de la mode que la ville nous a offert une 18ème édition de la Semaine de mode de Montréal innovatrice.

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Une misère oppressante, mordante, une véritable gifle; voilà ce que nous lance en plein visage On achève bien les chevaux, en première montréalaise hier au théâtre de Quat’Sous. Pauvres, riches, toutes les distinctions et les différences de classe s’effacent devant l’inévitable, le tragique, le grotesque. Québec, les années 30. La récession frappe durement, et tous les moyens sont bons pour s’en sortir. Pourquoi, alors, ne pas prendre part à un marathon de danse? Les gagnants empochent 1500$, les autres retournent à leur misère noire. Et si l’époque est différente, le contexte est ironiquement familier – ne sommes-nous pas, après tout,…

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