Entre affolement et quête de stabilité, Stations reflète ce que l’ayurvéda évoque le dosha « Vata » : des éléments d’air et de mouvement. Une mouvance du corps et de l’esprit au gré du vent de la vie.
Auteur/autrice : Hélène Boucher
Avec ses touches de parlé sans détour, un joual naturel par les dialogues, l’écrivain n’affiche aucune prétention et se berce à l’humilité. Ce qui lui importe : que les mots viennent du cœur, librement et qu’on le suive.
L’offre de la Rotonde et du Grand Théâtre de Québec met en scène plus de 250 interprètes qui brilleront jusqu’en mai 2024 à travers 18 créations de danse.
Penseur universel, l’écrivain positionne Colette comme appartenant à la génération Z, avec sa force et ses prises de positions contemporaines. Car après tout, elle est la « première superstar queer de la littérature occidentale »!
Au terme de la performance, Catherine Ringer délivre encore deux pépites de sa gorge vive, inextinguible : Un jour tu verras de Mouloudji et Je me suis fait tout petit de Brassens. Le désir de la garder tout près de nous, encore et encore, planait comme un parfum d’ivresse.
« On est comme les autres en étant nous-même. Je n’ai jamais eu besoin de monter sur scène pour qu’on me dise je t’aime. Je ne pouvais pas regarder les autres, mais aujourd’hui, après des années de thérapie dans l’ombre, je vis l’exigence de la scène sans crainte. »
Dans sa quête tradi-moderne, le griot Sissokho véhicule un message fort pour la cohésion : nous sommes tous pareils, des êtres humains.
Samedi le 10 juin, la diaspora sénégalaise de Montréal a fait entendre sa voix par une manifestation ayant mobilisé des centaines de personnes. Lamine Niang, membre du Secrétariat national à la communication de PASTEF Canada et gestionnaire de Jotna Média décrypte l’enjeu brimant la démocratie du « pays de la Teranga ».
Animée par un optimisme serein, Marie-Andrée Lamontagne insiste sur le succès du festival, « vaisseau amiral de la Fondation Metropolis bleu » qui lutte contre le décrochage scolaire et l’analphabétisme, auprès des jeunes comme des adultes, en plus de rassembler autour du plaisir de lire et d’écrire.
Que retenir de Basquiat au terme de ce cycle au MBAM? Une certaine nostalgie d’une jeunesse carburant aux platines, certes, mais surtout, un nouvel éclairage sur un être dont les études des chercheurs de l’art n’ont pas encore circonscrit.