Le rapport s’intéresse notamment à l’Afghanistan, où 5,3 millions de personnes supplémentaires sont tombées dans la pauvreté multidimensionnelle entre 2015-2016 et 2022-2023. Dans la foulée de la fin de la guerre et du retour des talibans au pouvoir, en 2022-2023, près des deux tiers de la population (64,9%) vivaient dans la pauvreté, affirme-t-on.
Browsing: victimes
Bien que le nombre total de décès découlant de la violence organisée, à l’échelle mondiale, a diminué de moitié comparativement à 2022, passant de 310 000 à 154 000, 2023 a malgré tout été l’une des années les plus meurtrières depuis le début de la récolte de données.
L’ampleur des destructions, cette année, fait toutefois craindre un risque de sous-estimation, notait récemment le New York Times: le très grand nombre d’édifices détruits signifie que des centaines, voire des milliers de personnes, pourraient être toujours enterrées sous les décombres.
La mortalité est en hausse, au Canada, bondissant de plus de 7 % entre 2021…
« Dans cette situation, l’aide est désespérément nécessaire. Des personnes ne sont pas seulement tuées lors des attaques, mais aussi à cause de maladies causées par des conditions insalubres. »
De plus, indiquent les chercheurs, ce qui est décrit comme de la violence à sens unique, où les civils sont visés, a aussi pris de l’ampleur en 2022. Au moins 11 800 civils ont été tués lors de ces violences intentionnelles et ciblées qui ont été menées par 45 États ou groupes organisés différents.
Près de huit millions d’Ukrainiens ont fui leur foyer, alors que près de six millions d’autres sont demeurés dans le pays, mais ont quitté leur domicile, généralement pour se diriger vers l’ouest, une partie du pays davantage épargnée par les combats.
« La plupart des pertes civiles ont été provoquées par l’utilisation d’armes explosives à grand rayon d’impact, y compris le bombardement à l’aide de l’artillerie lourde, les lance-roquettes, ainsi que les frappes à l’aide de missiles et de bombes larguées par des avions. »
Une critique récurrente émise par les sceptiques de la pandémie est que celle-ci aurait fait moins de morts que ne le prétend le bilan officiel, concluant du coup qu’il y aurait eu beaucoup de bruit pour rien. Le Détecteur de rumeurs explique ce qu’il en est du concept de « mortalité excédentaire ».
Dès le début de l’épidémie de la COVID-19, les responsables de la Santé publique, au Québec comme ailleurs, ont insisté sur l’âge, comme facteur de risque. On a identifié les 70 ans et plus comme étant les plus susceptibles de subir des complications majeures, d’être hospitalisés aux soins intensifs et, éventuellement, d’en mourir… Mais l’âge n’est pas le seul facteur de risque.