Un peu plus d’un internaute québécois sur trois (37%) dit rencontrer « très souvent ou régulièrement » des fausses nouvelles en ligne… alors qu’un peu moins du tiers des répondants disent avoir fortement confiance dans leur capacité de distinguer le vrai du faux sur internet.
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L’auteur et ancien professeur revient sur les transformations des médias, ces dernières années, et sur les obstacles à venir pour cette industrie toujours engagée dans une douloureuse transformation.
Complexe, fascinante, parfois effrayante et déprimante, Say Nothing est une télésérie particulièrement solide qui explore avec brio cette période historique méconnue. À voir, sans qu’aucun doute ne soit possible.
Bien que 90,4% des participants disent approuver l’idée de la démocratie, seulement 42,3% des répondants se disent satisfaits de « la façon dont la démocratie fonctionne dans la République fédérale d’Allemagne ».
« Les gens disent « pas moi! », mais il appert qu’à l’instar de plusieurs autres travaux de recherche en psychologie, il s’agit en fait d’un problème largement répandu à travers l’ensemble des partis politiques, ainsi qu’à travers une bonne partie du spectre en matière d’éducation. Le problème, ce n’est pas seulement la désinformation, mais les filtres de notre propre esprit. En fait, l’enjeu est peut-être même surtout de ce côté. »
« Sur les 486 journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions dans le monde, depuis 2017, 40 sont des femmes, et au moins 10 d’entre elles ont été tuées après avoir consacré une partie de leur travail aux droits des femmes et aux violences de genre. »
Bien réalisée, bien jouée, bien rythmée, The Perfect Couple est une dose tout à fait suffisante de drame et de traumatismes familiaux. De quoi se changer les idées pendant quelques heures, tout en éprouvant un peu de schadenfreude à propos de cette famille trop riche pour son propre bien.
« La faim est devenue une arme mortelle utilisée par les belligérants sans égard au droit international, provoquant une hausse alarmante des décès et des souffrances humaines. »
Les chercheurs, provenant de trois pays, se sont appuyés sur des estimations précédentes, selon lesquelles le 1% le plus riche de la population des États-Unis est responsable de plus d’émissions de GES que les 50% les plus pauvres. Or, d’après leur enquête, aux États-Unis, plus de la moitié de la population sous-estime cette empreinte carbone par un facteur de 10.
La liste noire et ses mécanismes d’application viennent ainsi accroître les risques pour les criminels potentiels. Et dans la foulée, les criminels sont moins portés à tenter de s’approprier des zones aux droits mal définis, ce qui réduit le nombre de conflits violents qui précèdent souvent les vols de terres. Et donc, écrivent les chercheurs, ce qui aide la nature aide aussi directement les individus.