Dankoroba (Disques Nuits d’Afrique) est né d’enregistrements et collaborations de Bamako à Montréal avec comme fil conducteur les « Sumusso » (les femmes en langue mandingue). Un son traditionnel et actuel grâce aux arrangements du réalisateur émérite Jean Massicotte, à qui l’on doit les albums Glee de Bran Van 3000 ou The Living Road de Lhassa de Sela, parmi tant d’autres.
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Brutal, frontal, mais aussi étrangement mélodique, caressant, enveloppant…, l’album Red Room, de la formation PIG, réussit à nous sortir suffisamment de notre zone de confort, sans toutefois briser l’illusion. Il s’agit d’un coup particulièrement bien réussi, pour Raymond Watts, qui nous prouve qu’il est encore tout à fait pertinant, même après 44 ans de carrière.
Qui d’autre que KGLW pour « prendre une pause » en enregistrant un album tout à fait solide? Le défaut de Flight b741 sera peut-être, justement, de ne pas proposer de pièces véritablement différentes – du moins, pas assez pour vraiment se démarquer –, mais bien franchement, nul besoin de constamment réinventer la roue. Parfois, une bonne dose de dad rock est tout ce qu’il nous faut. Dont acte.
À la suite de l’écoute de ce Voyage d’Héliodore, on se réveille donc, en quelque sorte, après l’équivalent d’un voyage dans les étoiles, pour retrouver la beauté et la douceur de notre existence. La preuve, s’il en est, que cet album est une oeuvre qu’il est particulièrement agréable de découvrir et de visiter encore et encore.
Direct, efficace, juste assez bien ficelé; Moments, qui sortira au début d’août, est un concentré franchement sympathique de classic rock comme il ne s’en fait presque plus. Attention, ça part!
Puisant dans son vaste répertoire, des premiers tubes, dont Ma gonzesse (1979), à Manu (1981) et Morgane de toi (1983), Renaud avait l’adhésion absolue de son public de tout âge à qui il a généreusement tendu le micro pour créer des chœurs infinis.
Il n’y aura sans doute plus jamais de mégaclaque comme a pu l’être Cross, le premier album qui a tout cassé – ou encore ce Phantom Part 2 démentiel, sur A Cross The Universe – et permis à Justice de s’imposer dans la foulée de Daft Punk, qui était déjà sur le départ. Mais on se prend malgré tout à espérer que les prochains disques seront non seulement proposés plus rapidement, mais auront aussi davantage de coeur au ventre qu’Hyperdrama.
Avec ses touches de parlé sans détour, un joual naturel par les dialogues, l’écrivain n’affiche aucune prétention et se berce à l’humilité. Ce qui lui importe : que les mots viennent du cœur, librement et qu’on le suive.
Ce que l’on tente de dire, peut-être maladroitement, c’est que ce nouvel album est très, très bon. Clairement, Brian Jonestown Massacre n’a rien perdu de sa superbe, de son mordant.
En résumé, un album bien conçu, riche et varié. On ne pourra certainement pas reprocher à The Grunions de faire toujours la même chanson.