Encore cette année, l’exposition nous ouvre les yeux sur différents enjeux planétaires. Impossible de demeurer de glace devant toutes ces histoires à la fois si lointaines et si rapprochées.
Auteur/autrice : Émilie Plante
Plus que jamais près des citoyens, la Biosphère poursuit sa mission de rapprocher l’humain et la nature, en intégrant la culture et l’innovation sociale à ses enjeux, en digne représentante du complexe muséal d’Espace pour la vie.
Viscéral, évocateur, Navy Blue flirte parfois avec les clichés. Souvent étourdissant, le spectacle laisse toutefois un goût doux-amer.
Fruit d’une rencontre entre différents savoirs, Libya est une co-création embrassant plusieurs facettes d’un patrimoine festif, coloré, lucide, dans lequel le passé, le présent et le futur sont entrelacés.
Ceux et celles qui ont déjà vu Queen Ka sur scène auront l’impression d’entendre sa voix colorée et imagée en lisant cette anthologie. Et pour les autres, il s’agit d’une excellente manière de la découvrir sur papier.
Katherine Johnson, Mary Jackson, Donna Strickland, Vera Rubin, Jocelyn Bell, Lise Meitner et Amalie Emmy Noether. Des noms que nous devons continuer de perpétuer, pour nous rappeler le chemin qui a été fait depuis, et celui qui nous reste encore à parcourir.
La directrice générale de l’Association des galeries d’art contemporain, Julie Lacroix, estime que « Plural entame donc son prochain chapitre avec l’objectif de devenir un rendez-vous incontournable à l’agenda de tous les collectionneurs canadiens pour répondre aux visées de rayonner davantage à l’extérieur du Québec. »
Au-delà de son aspect contemplatif, FRAMERATE : Pulse of the Earth pose un regard critique sur les changements environnementaux exacerbés par la présence humaine et sur la documentation perpétuelle de nos environnements par le biais de la technologie mise à la disposition de tous.
Malgré son nom, OLD suscitera l’intérêt de tous et pas uniquement un auditoire âgé. Nous sommes tous composés de chair et d’os, et nous connaissons tous l’inexorable sort du temps qui passe.
L’ambiance sonore enveloppante, son rythme à la fois anxiogène et effervescent ainsi que les prises de vue dignes des thrillers américains à grands budgets contribuent à l’aspect hautement divertissant de ce film.